Les témoignages

J’espère que là où tu es, tu vois de jolies choses, lumineuses et inspirantes.
J’espère que la musique est douce et envoûtante.
J’espère que la compagnie est festive.
J’espère que leur présence te comblera autant que tu as pu nous combler.
Grazie di avere stato nella nostra vita Paolo ❤️

C'est mon frère qui s'en va, c'est un pan de vie et d'amitié qui jamais ne disparaitra. Je savais, nous savions sa santé abimée et si nous n'avions pas souvent de ses nouvelles nous le savions vivant et heureux. A ses enfants Delphine et Maxime et aussi à Dominique je veux témoigner mon soutien et mon amitié
Alain mon ainé d'un an reposera en paix et son rire continuera de raisonner dans ma mémoire. Je vous embrasse tous.

Loulou restera le compagnon de jeux de l’enfance, celui des sorties de l’adolescence et puis l’ami fidèle, calme et posé de l’âge adulte.
Qu’il faisait bon le revoir régulièrement pour discuter le coup! Il affichait toujours ce petit sourire agréable et jamais moqueur, offrait une écoute de tous les instants et témoignait d’une observation juste du monde, d’une intelligence et d’une culture supérieures à la moyenne…
Pour avoir accueilli bon nombre d’étudiants stagiaires d’HELMo Sainte-Marie, je le savais extrêmement compétent, humain, attentif et aussi populaire auprès d’eux au sein de sa haute école. « Il est de toutes les sorties. Il participait à tout ce que nous organisions et il n’était pas le premier à s’éclipser !», me confiaient-ils tous avec ravissement.
“Une belle personne”, comme on a maintenant tendance à dire. Pour moi, ça ne fait aucun doute : Jean-Louis a magnifié l’expression.
Tu vas sérieusement nous manquer, Loulou. Repose en paix, délivré des souffrances de ces derniers mois.

Mes plus sinceres condoléances

Chers monsieur et madame Rase, très chère Marie, pétillante Jeanne, facétieux Adam, douce Lina et espiègle Marius,
Toutes nos pensées sont pour vous en ce moment...Comme la vie peut être injuste...Nous n'avions pas la chance de connaître Nadège mais sa photo résume tout. Nous y retrouvons le sourire et la gentillesse qui caractérise tellement toute votre famille ! Quelle chance d'avoir eu une telle marraine, ma Jeanne ! Marie, en tant que médecin, j'imagine ton impuissance face à cette cruelle maladie, mais j'imagine bien plus ta force et ton empathie en tant que soeur. Tu as du lui faire un bien fou ! Monsieur et madame Rase, vous voilà orphelins d'une partie de votre futur...Ce n'est pas dans l'ordre des choses...Nous pouvons à peine imaginer votre douleur...Mais nous sommes sûrs d'une chose : vous êtes une famille soudée et résiliente ! Nadège doit être bien fière de vous tous de là où elle est ! Tout doucement et chacun à votre rythme, vous sortirez grandis de cette terrible épreuve.... C'est certainement ce qu'elle aurait voulu. Courage à tous. Quand on partage sa joie, on l'augmente. Quand on partage sa peine, on la diminue. Mille bisous réconfortants. Françoise et Stéphane Haulot-Laschet P.s : nous n'oublierons pas la fleur du 10 février ! 🌼

Je suis bouleversée par le décès de ma chère Régine. Je ne peux mème pas imaginer sa disparition, elle incarnait tellement la vie avec ses bons mots, ses rires et sa fantaisie. Je ne l’oublierai jamais et la garde précieusement dans mon coeur.

Reposez en paix un ami de la friterie ardennaise

g

Toutes mes sincères condoléances pour la perte de ta maman tu dois avoir beaucoup de courage .Christophe et ta famille.

Il est toujours difficile d'entendre et d'admettre la disparition d'une connaissance appréciée de longue date.
C'est bien le cas avec Michelle Heinen. Voici donc une ami d'enfance de la rue La Vaulx, où j'habitais jusqu'en 1983 au numéro 36, qui vient de nous quitter trop tôt pour des cieux plus lumineux !
Je garderai un souvenir indéfectible de Michelle : une amie joviale, sympathique, conciliante...et un tas d'autres traits de caractères positifs ! On s'amusait bien des heures durant, été comme hivers, dans ce coin de la ville de Malmedy. Il y avait toujours une ambiance joyeuse, et Michelle savait partagé sans compter, avec ses copains, copines, ses rires et ses blagues à tout va. Notamment avec sa grand-maman adorée, toujours postée sur le pas de la porte, ou Mme Renier à sa fenêtre, à nous regarder jouer sur la rue aux rares voitures !
Repose en paix, Michelle, et je suis sûr que tu as retrouvé Roland, ton cher époux regretté, parti trop tôt lui aussi !...et tous ceux et celles que tu as aimés.

Avec toute mon affection,
Patrick Curtz

bien triste de cette nouvelle condoléances à toute la famille

Christophe, Nathalie, nous vous présentons nos sincères condoléances et prenons part à votre grande peine
Hedwige, son papa Raymond et Fabrice

Sincères condoléances a toute la famille et à toi Pascale tout mon enfance Ginette et Mercurio son mari vraiment deux bonnes personnes vraiment triste et toutes mes sincères condoléances je comprends votre douleur en ayant été dans le cas vraiment de tout cœur avec vous

Pierre fut mon premier contact d'étudiant interne à Pierrard en septembre 1973.
Le groupe des internes qui nous réunissait avait affublé Pierre d'un surnom très simple et sans ostentation: "Papa". Durant ces quatre années d'étude Papa est devenu un confident , un ami , une ressource de bonne humeur. Je suis consterné et triste de savoir que le destin nous a retiré Papa. Je suis encore plus triste de ne pas avoir pu le conduire à sa dernière demeure. A vous , son épouse, sa fille, ses petits enfants , sa famille je présente mes sincères condoléances . Papa tu vas nous manquer!

Vous présente ces sincères condoléances à toute la famille

J'ai beaucoup travaillé avec Jean POLIS à la paroisse de Blocry dans les équipes pastorales et liturgiques
Je peux témoigner qu'il fut un Apôtre des Pauvres. Il n'a pas hésité à quitter l'habitation de la Paroisse pour aller s'installer avec les plus pauvres dans le quartier du Bauloy et soutenir l'Entraide de Blocry. Sa préoccupation était de rechercher le moyen de donner une espérance aux défavorisés
Quand il a quitté la paroisse de Blocry, il m'a confié son carnet de notes des réunions de l'équipe pastorale ou on découvre ses recherches de FOI
Je garde de lui un souvenir profond de son passage à la paroisse que je fréquente toujours
J'ai très bien connu son papa à Blocry et puis j'allai souvent lui rendre visite à COO avec soeur Manette, dans sa dernière demeure
Profondes condoléances à toute la famille .Que le Seigneur l'accueille avec Amour
Yvan BOQUET 92 ans

Votre fichu caractère, votre humour, votre courage, nos discussions, nos "prises de bec", votre franc parler vont nous manquer
Une toute toute grosse pensée pour votre mari et vos enfants sans oublier Holly, Juliette....

Therese était un pilier du dispensaire du Resto du coeur,et je m y suis appuyée avec confiance des que j y suis arrivée. J ai travaillé en complicité avec elle. Elle avait le contact et le pardon faciles. Belle personne que je n oublierai pas!Toutes mes condoléances à sa famille.

Nous vous présentons nos chaleureuses et sincères condoléances à toute la famille

Michel, Michail, Michalis, Maki,
Nous avons partage 48 ans ensemble, de ce soir d'aout 1976 quand tu es venu nous chercher a l'aeroport d'Athenes, a ce jour ou tu nous a quitte. Nous avons eu des hauts et des bas, et je suis heureux d'avoir pu partager cette semaine a Nea Makri si cher a ton coeur en Octobre l'annee derniere. Nous avons longuement parle de ta vie en Egypte, de ta famille, de tes etudes et de ta carriere. Nous avons partage de bons repas en ces lieux que tu hanteras a jamais. Merci d'avoir ete ce pere que je n'ai jamais eu,
Bisous, Filia la haut...
A

Une encyclopédie qui brûle !

On croise tous et toutes une personnes qui fait sens à notre existence dans les moments difficiles !

Vous faites partie de ma mémoire, intégrante de la personne que je suis devenue, merci

Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami
L'ami qui tous les soirs venait à cette table
Et qui ne viendra plus, la mort est misérable
Qui poignarde le cœur et qui te déconstruit
Il avait dit un jour, "Lorsque je m'en irai"
"Vers les lointains pays au-delà de la Terre"
"Vous ne pleurerez pas, vous lèverez vos verres"
"Et vous boirez pour moi, à mon éternité"
Dans le creux de mes nuits, bien sûr, je voudrais bien
Boire à son souvenir pour lui rester fidèle
Mais j'ai trop de chagrin et sa voix qui m'appelle
Se plante comme un clou dans le creux de ma main
Alors, je reste là au bord de mon passé
Silencieux et vaincu, pendant que sa voix passe
Et j'écoute la vie s'installer à sa place
Sa place qui pourtant demeure abandonnée
La vie de chaque jour aux minuscules joies
Veut remplir à tout prix le vide de l'absence
Mais elle ne pourra pas, avec ses manigances
Me prendre mon ami pour la seconde fois
Elle est lourde à porter, hein, l'absence de l'ami
Elle est lourde à porter l'absence de l'ami

Nos sincères condoléances, que dire dans c'est moments difficiles courage à toute la famille

Que de souvenirs qui reviennent.. une mamie au top ❤️ au revoir Denise 🕊️

Hommage à Robert Herbrand

Aujourd'hui, c'est avec une profonde tristesse que nous apprenons et disons au revoir à Robert, un ami de longue date, quelqu'un avec qui nous avons partagé tant de moments précieux. Nos vies ont souvent suivi des chemins parallèles, marqués par des expériences communes, des joies et des défis, des rires et des réflexions silencieuses. Nous avions le même âge, et cela nous rapprochait d'une manière unique : il n'y avait pas besoin de beaucoup de mots pour se comprendre.
Robert était une personne d'une grande simplicité et d'une immense générosité. Toujours prêt à donner de son temps, à offrir un conseil ou simplement à être présent quand on en avait besoin. Sa sagesse n'était pas dans les grands discours, mais dans les petits gestes quotidiens, empreints d'une gentillesse authentique. Il savait écouter, une qualité précieuse de nos jours, et il avait ce don rare de faire en sorte que chacun se sente important.
Aujourd'hui, nous nous rendons compte à quel point Robert était un pilier dans la vie de ceux qui l'ont connu. Son absence laisse un vide immense, mais son souvenir continuera à nous accompagner, à nous réconforter. J'aime à penser, et j’ose espérer que, là où il est maintenant, il trouve la paix et qu'il veillera sur nous avec le même sourire bienveillant qu'il avait toujours.
Robert, tu resteras à jamais dans nos cœurs. Que ton repos soit doux, et que la mémoire de ta vie inspire ceux qui t'ont aimé.

Et je terminerais par les paroles de « Miche Fugain

Ou s'en vont ? Ou s'en vont ?
Tous ces potes qu'on aime, ces certaines affections.
Qu'on est long, qu'on est long
À dire les je t'aime qu'on pense quand ils s'en vont. »

Pour le Jahrgang 1956

Jean-Louis Mathonet en octobre 24